Mélanie, 45 ans, mère de deux enfants, a découvert la course à pied il y a une dizaine d’années. Ce qui avait commencé comme un simple moyen de retrouver la forme s’est rapidement transformé en une passion. Aujourd’hui, elle nous raconte son expérience sur le Belle-île en Trail !
Sommaire
Comment s’est passé le Belle-île en Trail ?
La seule performance à atteindre était d’être finisher du Belle-île en Trail, une course exigeante de 81 km avec 2200m de D+. Et on peut dire que c’est un objectif atteint ! J’ai eu plutôt de bonnes sensations malgré la distance et la difficulté du GR34. Je redoutais les problèmes digestifs souvent soulignés lors des ultra trail et tout s’est très bien passé. Au 50ème kilomètre, j’ai eu une sorte de déclic, j’irais au bout de ce défi !
Cet objectif est arrivé un peu par hasard lors d’une soirée professionnelle avec un des partenaires de la course. Ils avaient des dossards à offrir et voilà : un pour moi ! C’était un rêve et l’opportunité était trop belle pour participer à cette course dont le dossard ne s’acquiert que par tirage au sort et qui n’a lieu que tous les deux ans.
Niveau de difficulté ? Sur mon échelle de 1 à 5, je mettrais 6 (rires). Un départ de nuit à la frontale sur le GR (cailloux, racines…), une course toute en montées et descentes, et les descentes çà fait mal aux cuisses ! Je redoutais la chute… Une course plutôt solitaire entre les différents points de ravitaillement… Sur cette distance, seulement 60 femmes engagées pour un peu plus de 500 dossards : de quoi être encore plus fière, non ?
Comment as-tu géré la préparation du Belle-île en Trail ?
J’ai commencé la préparation pour le Belle-île en Trail en février 2024 avec RunMotion Coach, avec 4 sessions de courses à pied complétées cet été par du renforcement musculaire et des sorties vélo, soit 6 sessions par semaine ! J’étais plutôt assidue, j’ai été néanmoins contrainte de stopper une quinzaine en raison d’une entorse bénigne (survenue fin juin lors de la Ronde des Douaniers 34 km de l’Ultra-Marin).
Qu’est-ce qui te motive à courir ?
Ma première source de motivation est de prendre du plaisir en m’accordant un moment qui n’est qu’à moi, une pause dans un emploi du temps plus que chargé (travail, enfants, maison…) et bien sûr aussi se dépasser en allant chercher quelques objectifs ambitieux comme le Belle-île en Trail 🙂
Comment as-tu connu l’application RunMotion Coach ?
Je l’ai connu via les réseaux sociaux, Instagram notamment. Je l’ai testé et adopté ! Mon premier plan d’entraînement suivi sur l’app était pour Marseille Cassis 2023 (je voulais améliorer ma perf de 2022) et les résultats ont été à la hauteur avec une course réalisée sans souffrance et un chrono amélioré de 9 minutes ! ce qui est énorme sur la distance !
Qu’est-ce qui t’a encouragé à télécharger et tester l’application ?
Je cours seule et me prépare seule donc c’est la nécessité d’avoir des repères et une préparation efficace qui m’a motivé à télécharger et tester l’application. Et puis je suis quelques champions qui utilisent l’app donc forcément, même si je ne prétends pas atteindre leur niveau, çà motive !
Qu’est-ce que tu préfères dans l’application ?
J’adore la personnalisation de l’entraînement en fonction des objectifs, du terrain où je m’entraîne, de ma disponibilité ou pas, de mon état de forme… J’adore aussi la variété des sessions proposées (côtes, fractionné, EF, vélo, renforcement musculaire…). L’application est hyper simple d’utilisation, se synchronise parfaitement avec ma montre. Je l’adore !
Après le Belle-île en Trail , quel est ton prochain défi sportif ?
Après le Belle-île en Trail, à court terme c’est réussir à passer le semi-marathon en 2h ou moins (la prépa va démarrer dans une dizaine de jours) et ensuite trouver un 100 km… Maintenant que je suis une ultra traileuse, j’ai le doux rêve de devenir « centbornarde » 😂
Merci pour ton récit très touchant, on te souhaite le meilleur pour la suite !