Vincent a longtemps pratiqué le basket ainsi que la course à pied, mais des problèmes aux genoux apparus au début des années 2000 l’ont contraint à arrêter de courir et à se tourner vers le cyclisme. Après 15 années d’arrêt, il a repris progressivement la course entre juillet et décembre 2023, avant de décider que l’année de ses 47 ans serait marquée par des défis sportifs qu’il n’avait pas encore pu relever.
D’abord inscrit à son premier semi-marathon entre Locronan et Quimper le 17 mars 2024, il a ensuite couru la Transléonarde le 23 juin, puis le trail du Hatschbourg le 9 août. Le port du dossard lui procure une forte motivation et il retrouve un grand plaisir dans la course à pied, tant lors des préparations que pendant les compétitions. Aujourd’hui, Vincent nous raconte comment s’est déroulé son Marathon du Finistère, la Transléonarde !
Sommaire
Comment s’est passé ton marathon du Finistère ?
Pour ce premier marathon et second défi en course à pied, je m’étais fixé un objectif raisonnable de 4 heures.
Avec un climat breton toujours incertain, même au printemps, les conditions du jour pouvaient en effet largement influer sur le mental et le déroulement de la course. Nous avons finalement bénéficié d’une météo particulièrement clémente et idéale pour cette nouvelle épreuve !
Je dis « nous » car quatre camarades étaient aussi inscrits : Morgane, Stéphane, Vincent et Antoine, chacun avec son propre objectif et un plan de préparation RunMotion Coach suivi à la lettre par (presque) tous…
Antoine avait également un objectif de 4h mais pour plusieurs raisons, nous doutions cependant de pouvoir courir ces 42,195 kms ensemble.
Passé le stress d’avant course et une fois le départ donné, les sensations étaient excellentes. Après quelques kilomètres seulement, c’est avec une immense joie et beaucoup d’émotion que j’ai aperçu mon meilleur ami Vincent et sa compagne Emma sur le bord de la route : ils m’avaient fait la surprise de venir depuis les Côtes d’Armor pour ce premier marathon et j’avoue que leur présence ainsi que leurs encouragements à intervalles réguliers, tout au long de la course, ont représenté un atout moral et mental indéniable, avec l’envie permanente de me dépasser et de ne pas les décevoir !
Les 20 premiers kilomètres sont ainsi passés très vite, à l’allure prévue voire supérieure, sans douleur ni difficulté, avec Antoine à mes côtés. Mais c’est à cette distance que les inscrits au marathon en duo passaient le relais à leur binôme : il fallait donc rester concentrés et veiller à ce que la « fraicheur » de ces nouveaux coureurs n’entache pas notre motivation ni le respect du plan de course prévu.
Au bilan, nous n’avons eu aucune (mauvaise) surprise durant la course : le plan cardio et la stratégie de nutrition/hydratation nous ont permis de profiter pleinement de ce beau parcours alternant terre et mer, entre Plouescat et Guissény, sans jamais marcher ni même subir le « mur » tant redouté. Certes, les trois derniers kilomètres nous ont semblés interminables mais nous nous motivions mutuellement avec Antoine. L’arrivée sur le tapis rouge, dans un ultime effort après une dernière côte, puis le franchissement de la ligne en 4h01 avec mon camarade et les encouragements de mes amis ainsi que du public breton restent de nouveaux souvenirs inoubliables et une énorme satisfaction personnelle.
Comment as-tu géré la préparation de la Transléonarde ?
Après mon premier semi-marathon le 17 mars, j’avais besoin de me fixer un nouvel objectif pour ne pas perdre tous les bénéfices de la précédente préparation sur 8 semaines. La Transléonarde tombait très bien : après la phase de récupération, je pouvais préparer cette course sur 12 semaines avec trois entrainements hebdomadaires (mardi, jeudi et samedi) proposés par RMC. Le semi s’était très bien passé, avec un chrono satisfaisant pour une première fois et d’excellentes sensations mais lors de l’inscription pour ce marathon, je restais cependant à nouveau dans le doute sur ma capacité à courir cette distance mythique.
Dans la continuité du semi, j’ai donc pratiqué le vélotaf quotidien et ajouté quelques séances de vélo et de PPG dans la préparation, tout en surveillant alimentation et rythme de sommeil. J’ai vraiment percuté que je préparais un marathon à l’occasion de mon premier semi à l’entrainement et une fois encore, le plan structuré proposé par l’application a tenu ses promesses, avec toujours autant de plaisir à chaque séance et aucune blessure à déplorer J. Le suivi d’un plan RMC par mes camarades me permettait également d’échanger avec eux sur nos sensations et nos performances à l’approche de l’épreuve, ce qui est très stimulant.
Qu’est-ce qui te motive à courir ?
Mes chrono au semi puis au marathon, associés à l’absence de blessures et de douleurs aux genoux malgré ma méniscectomie, m’encouragent à continuer à relever de nouveaux défis en course à pied.
Il y a encore six mois, il était en effet juste inimaginable pour moi de courir de telles distances et c’est donc une vraie revanche sur la vie dont je profite pleinement, à chaque foulée…
Comment as-tu connu l’application RunMotion Coach ?
Mon meilleur ami et sa compagne utilisaient l’application depuis quelques années. C’est sans hésiter qu’il m’a conseillé de me préparer avec RunMotion Coach dès mon inscription pour le semi-marathon.
Qu’est-ce-qui t’a encouragé à télécharger et tester l’application ?
Les progrès ainsi que les très belles performances de mes amis Vincent et Emma en marathons, trails puis ultra trails ont suffi à me convaincre de la qualité de l’application.
Les résultats à mon premier semi puis à la Transléonarde le confirment et je recommande donc à mon tour RunMotion Coach à mes proches et à mon entourage sportif.
Qu’est-ce que tu préfères dans l’application ?
Les premiers conseils donnés aident à se lancer facilement dans la course à pied, en intégrant rapidement les notions d’allure ou d’intensité par exemple.
J’apprécie tout particulièrement la qualité et la progressivité des entrainements personnalisés, même dans la version gratuite de l’application.
L’absence de blessure grâce aux séances parfaitement adaptées et structurées dans la durée constituent également un atout majeur pour la réussite de l’objectif fixé.
Je continue à partager avec mes proches, via les applications Garmin et Relive, la photo de débriefing de séance proposée par l’application.
Si elle n’a pas réellement révolutionné la préparation, la nouvelle version de l’application est aussi intuitive et très agréable à consulter.
Quel est ton prochain défi sportif ?
Il me fallait un nouveau défi après ce marathon et j’ai choisi de diversifier la pratique en me lançant dans le trail.
De passage en Alsace pour les vacances, je me suis donc inscrit sur le trail caritatif du Hatschbourg, qui s’est déroulé le 9 août.
Après une préparation sur 5 semaines et un objectif en 1h40, j’ai finalement bouclé ce beau parcours de 16kms et 550m de D+ en 1h39 !
Une nouvelle petite victoire avec RunMotion Coach, en attendant le prochain objectif qui reste encore à définir mais dont je sais déjà qu’il sera rapidement fixé…